Boubacar Ndiaye, la parole enchantée du griot
On peut s’en tenir à l’enchantement. On peut s’en tenir au charme indicible des chants de Paamath, à ses guitares qui, à elles seules, offrent l’évasion en terre africaine, aux rythmes, aux scansions des percussions qui vous donnent l’irrésistible envie de danser. On peut s’en tenir à ce corps de Boubacar, enveloppé de toiles blanches qui dansent avec chacun de ses gestes aériens. Comme un oiseau. On peut seulement se laisser porter, emporter, par la musique des mots dans leur langue originelle subtilement mariée au français.
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