Bobin, Fèvre, Vivares, l’évidence d’un trio

Les deux musi­ciens entrent en scène et ouvrent par leurs accords la voie aux rimes si spé­ci­fiques de Nou­ga­ro, lus par la voix sin­gu­lière, souf­flée, presque rauque de Claude Fèvre (elle nous dira à la fin du concert qu’elle l’avait per­due il y a quelques jours…). « Il serait temps que l’homme s’aime »… « Assez ! » Le ton est don­né, le trio est en scène et nous embar­que­ra sans répit dans une insur­rec­tion poé­tique et musi­cale qui parle au cœur et au ventre.

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