Un été 44, du côté des gens bien ordinaires…

On peut cer­ti­fier que tout ce qui est chan­té, dit dans ce spec­tacle, tout ce qui s’attache aux sen­ti­ments des sans –grade, des ano­nymes embar­qués dans une tra­gé­die qui les dépasse est empreint d’authenticité, de véri­té. Le pro­jet conçu par Syl­vain Lebel, nor­mand né sur ces plages du débar­que­ment ne pou­vait pas échap­per à cette profondeur

Lire la suite