Festival Bernard Dimey 2014 – Hervé Lapalud paie sa dîme à tonton Bernard

Ce soir c’est en soliste qu’il monte sur la grande scène du fes­ti­val en y dres­sant comme à son habi­tude ses petites trou­vailles qui font voya­ger. L’enfance n’est jamais loin. C’est un décor pour y sus­pendre ses rêves et quand il entre c’est pour offrir d’abord « les mots sucrés, les mots de miel ». Assis sur sa malle pour jouer de la kora, il entonne Syra­cuse (mer­ci Ber­nard !) et enchaîne avec cette chan­son que l’on pour­rait décré­ter obli­ga­toire dans les écoles : « Si tous les gars du monde vou­laient se don­ner la note »… N’est-ce pas ?

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Festival Bernard Dimey 2014 – à l’unisson de son territoire

Ce pre­mier soir a d’ores et déjà tenu pro­messe avec le Jazz à Bre­telles autour de la voix chaude et de la pré­sence enjouée d’Alexandra Jamet. (…) Puis ce fut Claire Taïb et ses musi­ciens qui ren­dirent hom­mage à Ber­nard Dimey. Une for­ma­tion dont il faut sou­li­gner l’excellence (…) Quel bon­heur déci­dé­ment d’entendre à nou­veau les textes de Ber­nard Dimey, de les redé­cou­vrir habillés par des sono­ri­tés jaz­zy, des bossa-nova !

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Manu Galure, un fabuleux histrion de la Chanson

L’adjectif « fabu­leux » dit l’extraordinaire pres­ta­tion, l’étonnante, la magique mais aus­si et sur­tout la force de l’imaginaire, le mer­veilleux, l’irréel… Oui, c’était une échap­pée belle dans l’univers d’un artiste, auteur, com­po­si­teur, pia­niste, acteur. Tout à la fois ! Pour cela il a tout cham­bou­lé. L’équipe du Bijou s’en sou­vien­dra : la scène est deve­nue espace de spec­ta­teurs et la salle accueille le pia­no et les spec­ta­teurs autour. Irré­sis­tible ce Camille Arti­chaut, celui que l’on découvre un peu plus tard cla­ri­net­tiste dans la fan­fare qui fera quelques appa­ri­tions fol­le­ment festives.

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Pierrick Vivares, chansons en campagne

Pier­rick Viva­rès est à l’orée de sa jeune car­rière et de sa vie et pour­tant quand vous le ren­con­trez, vous êtes éton­né de sa maî­trise et de son regard sur la vie. Les enfants qui l’attendaient dans leur petite école l’avaient-ils pres­sen­ti ? Je suis prête à parier que le sou­ve­nir de ce 11 avril 2014 ne les quit­te­ra pas de long­temps ! Dans ce minus­cule vil­lage de Roque­feuil –pas même 300 âmes– sur ce pla­teau de Sault où Festiv’Art avait rêvé renaître, l’école était en effer­ves­cence. On atten­dait Pierrick ! 

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Virage à droite : rions un peu !

Paraî­trait que beau­coup de com­munes en France ont pris un virage à droite pro­non­cé dimanche der­nier. Paraî­trait même que Tou­louse n’est plus ville rose. Or, quelques tru­blions de la chan­son avaient déjà depuis quelque mois concoc­té un spec­tacle « parce que la gauche n’a pas le mono­pole de la chan­son fran­çaise à mes­sage, ravi­vons ensemble la flamme de la chan­son de droite ». Ce qua­tuor revi­go­rant se nomme « Virage à droite » : Natha­lie Mira­vette (Natha­lie K. Mori­vette), Manu Galure (Manu Gal­la­dur), Stef (Sté­pha­nie de Mora­no) et Nico­las Bac­chus (Nico­las Sarcchus) !

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