De Calm, travelling sur l’amour

« Amour Ath­lé­tique Club » étrange titre pour un album… Signi­fie-t-il qu’on aborde l’amour comme une épreuve spor­tive, qu’il faut s’attendre à vaincre un adver­saire, l’autre ou soi-même, que rien n’est jamais joué d’avance… ? Sans doute un peu tout à la fois. Le « Club » de De Calm, c’est un duo : un auteur/​chanteur, Guillaume Carayol et un com­po­si­teur, Mickaël Ser­ra­no, ins­ti­tu­teur. Ces deux-là se fraient un che­min jusqu’ici davan­tage dans l’univers du rock…

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Florent Pagny, le rendez-vous d’un faiseur de tubes

Un vilain mal de dos, un dimanche de soli­tude et de ciel maus­sade, il n’en n’a pas fal­lu davan­tage pour que je me retrouve devant mon poste de télé­vi­sion, au grand ren­dez-vous de l’indétrônable Michel Dru­cker. Sur son cana­pé rouge, Florent Pagny, pour la sor­tie de son nou­vel album. J’avoue, l’histoire com­mence plu­tôt bien. Pas­sés les mots de bien­ve­nue où l’on se congra­tule abon­dam­ment, appa­raît Florent Pagny dans une tenue plu­tôt sobre, « mode­ra­to » dit lui-même le chanteur. 

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L’échappée belle de la Ruelle en Chantier

C’est jeune, frais, joyeux… c’est un peu du prin­temps dans mon hiver cet album du qua­tuor auquel pas moins de vingt-cinq par­ti­ci­pants ont prê­té main forte. C’est du bel ouvrage, vous pou­vez m’en croire et si comme moi vous pen­sez que la chan­son a aus­si besoin de nous offrir à dan­ser, avec eux c’est gagné ! Sur des rythmes d’hier comme d’aujourd’hui cette chan­son là y invite irrésistiblement. 

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Babilotte chante Reggiani, deuxième !

L’album que j’ai dans les mains est d’une sobrié­té qui nous parle de l’interprète. Sim­pli­ci­té, dis­cré­tion. Pla­quette blanche avec le titre en son centre, dis­crè­te­ment sou­li­gné de volutes grises et noires. Domi­nique Babi­lotte offre là un hom­mage digne et d’une remar­quable effi­ca­ci­té sous la direc­tion artis­tique du contre­bas­siste Xavier Lugué. Les chan­sons ont un habillage jaz­zy, pia­no, contre­basse, saxo­phone, qu’aurait aimé, à n’en pas dou­ter, Serge Reg­gia­ni dis­pa­ru, comme Nou­ga­ro, en 2004. 

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Hervé Suhubiette, l’homme qui chante à tue-tête et cloche-pied

On ne peut rêver lieu plus intime, plus cha­leu­reux – lieu de proxi­mi­té s‘il en est – que cette Cave Poé­sie, à quelques mètres de Saint-Ser­nin qui illu­mine le soir. C’est ici qu’Hervé Suhu­biette, figure de la chan­son tou­lou­saine, est accueilli pour se livrer à l’exercice du solo pia­no voix, enfin presque un solo… car ce soir, Cathe­rine Vanis­cotte vien­dra par deux fois le rejoindre. Et leur duo est un moment de grâce ! 

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