Thierry Romanens, la joie d’être en scène
Difficile vraiment de trouver mot plus juste que le mot joie pour évoquer l’artiste helvète Thierry Romanens. À la première chanson, le regard est happé par le jeu, la danse de ses mains qui pourrait être sa signature si la mandoline dont il joue le plus souvent ne venait nous en priver. Mais on ne saurait le regretter longtemps car le son de cet instrument dialoguant avec celui du piano Fender Rhodes (Alexis Gfeller) n’est pas sans lien avec notre plaisir.
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