Boubacar Ndiaye

Boubacar Ndiaye, la parole enchantée du griot

On peut s’en tenir à l’enchantement. On peut s’en tenir au charme indi­cible des chants de Paa­math, à ses gui­tares qui, à elles seules, offrent l’évasion en terre afri­caine, aux rythmes, aux scan­sions des per­cus­sions qui vous donnent l’irrésistible envie de dan­ser. On peut s’en tenir à ce corps de Bou­ba­car, enve­lop­pé de toiles blanches qui dansent avec cha­cun de ses gestes aériens. Comme un oiseau. On peut seule­ment se lais­ser por­ter, empor­ter, par la musique des mots dans leur langue ori­gi­nelle sub­ti­le­ment mariée au français.

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Le Bijou, une saison à mille tours

Croyez-moi, il y a de quoi faire ses emplettes, son plein de cad­dy, avec ce que la Chan­son peut offrir de plus réjouis­sant quand elle s’acoquine sans fron­tières avec les musiques du monde, avec le cirque, avec le swing, la soul ou la rum­ba, avec tou­jours et encore des his­toires qui se content, se disent, et se chantent bien sûr, quand elle jongle aus­si avec nos sou­ve­nirs – on ne peut pas faire sans les chan­teurs morts – ceux que nous ont lais­sés Nou­ga­ro, Bras­sens, Nino Fer­rer, Leprest… 

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