Fabien Valle

Camu, le printemps du poète

Voi­là qu’aujourd’hui non content de l’accompagnement sub­til de Fabien Valle à l’accordéon et de Yous­sef Ghaz­zal à la contre­basse, il nous pré­sente un nou­vel accom­pa­gna­teur : le bat­teur Dimi­tri Kogane qui le rejoint en jeu­nesse et en sen­si­bi­li­té surtout. 

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Camu, un jardin bleu dans l’océan

Mais bien enten­du, c’est à la mer, sa lumière, ses sono­ri­tés, ses odeurs, à la navi­ga­tion que les chan­sons empruntent sur­tout les plus élé­gantes cor­res­pon­dances. La chan­son Les goé­lands, « les goé­lands fous joyeux qui dan­saient », conti­nue de nous bou­le­ver­ser avec cette image de la mère res­tée sur le quai, « droite comme un i sans son point »… L’accordéon tour­billonne à la fin et achève sa danse folle dans une valse lente. 

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