Tonycello, le cachetonneur des Lilas

Com­men­çons par la fin de ce concert au Bijou avec, en rap­pel, ce pla­giat de la célèbre chan­son d’un Gains­bourg débu­tant. Vous aurez immé­dia­te­ment com­pris que dans ce spec­tacle, Chan­sons pauvres… à rimes riches, il faut s’attendre à lais­ser au ves­tiaire sa moro­si­té. Sans doute est-ce pour ce rire bien­fai­teur que des enfants sont dans la salle, plus nom­breux qu’à l’ordinaire ? Avant que n’entre l’artiste en scène, le cel­lo trône majes­tueux dans son rond de lumière, le tabou­ret haut est au centre…

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