Blanzat 2014 – les Tit’Nassels, sur leur manège désenchanté

La for­ma­tion des Tit’Nassels est mul­ti­pliée par deux. On retrouve tou­jours le duo léger de Sophie Per­rin-Signo­ret, la sémillante en robe à fleurs, entou­rée de quan­ti­té de petites per­cus­sions, et pia­no­tant debout et sans com­plexe de quelques doigts sur son cla­vier, et son com­plice à la gui­tare. Ils sont donc entou­rés d’un bas­siste et d’un bat­teur dont ils jouent à faire des souffre-dou­leur, des « pré­caires », des « étrangers »… 

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Blanzat 2014 – Kent, juste quelqu’un de bien

Incon­tes­ta­ble­ment Kent a de l’élégance et son duo pia­no voix avec le ber­li­nois Marc Haus­mann n’en est que plus effi­cace pour des­si­ner au fir­ma­ment de la Chan­son ses lettres capi­tales. L’homme n’a plus 20 ans, et alors ? Qui son­ge­rait à s’en plaindre ? Il a le visage buri­né de ces vieux loups de mer qui se sont aguer­ris à toutes les tem­pêtes, aux gros temps de la vie, aux coups de blues comme aux coups de sang. 

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La Reine des aveugles voit rouge et noir

Un soir de coupe du monde… et de sur­croît, de match des Bleus, faut oser ! Hé bien, le café cultu­rel Chez ta Mère n’a peur de rien quand il s’agit de la Chan­son (notons que leur com­mu­ni­ca­tion affiche main­te­nant clai­re­ment la cou­leur avec les mots « Scène Chan­son ») et l’artiste du jour est d’une trempe à faire front ! Croyez-vous que 22 gars qui courent der­rière un bal­lon puissent faire recu­ler la Reine des aveugles ?

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Un 21 juin à Dalou : musique ta mère !

Au vil­lage, sans pré­ten­tion, on accueille à l’heure de l’apéro (gra­tuit !), sous l’ombrage d’un géné­reux noyer, un trio dont le réper­toire affiche toute la joie débon­naire, le rythme aus­si (on se sent vite habi­té d’une envie de frap­per dans les mains !) atten­dus un soir de fête. Le groupe se nomme « Ça peut plaire à ta mère », une invi­ta­tion à la blague ! Festiv’Art qui offrait son ultime concert a trou­vé dans ce trio tou­lou­sain un bien joli coup de chapeau !

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Flo Zink, la joie d’une femme qui chante

Flo égrène ses pre­mières chan­sons dans la dou­ceur d’une voix câline avec ce « petit caillou dans la poche », qui n’est que l’expression de la peur ou ces ques­tions exis­ten­tielles sur le pré­sent que taraude le pas­sé, ou bien encore sur les Traces, que nous laissent les liens fami­liaux. Mais cette pro­fon­deur-là ne dure guère, très vite elle en rit, s’en amuse et nous emporte dans un uni­vers quelque peu débri­dé où s’affichent ses longues pra­tiques du théâtre, de la danse et du chant.

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