Le chant profond de Moran

Depuis que cet auteur a trou­vé la barque des mélo­dies pour por­ter haut ses vers – ren­contre assez tar­dive, à plus de trente ans – depuis que son visage nous est appa­ru en 2007 sur les affiches des Défer­lantes fran­co­phones de Cap­bre­ton où il rem­por­ta le Trem­plin Décou­vertes, la venue en France de ce Qué­bé­cois ne passe pas inaper­çue. Et pour­tant, sou­li­gnons que c’est une pre­mière fois à Toulouse.

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De Claude à Nougaro, un concert de folie

On annon­çait du par­tage, des mélanges éton­nants et déto­nants pour rendre hom­mage à l’immensité de l’œuvre de Claude Nou­ga­ro. Un concert de folie ? Ah ça oui ! Phi­lippe Cou­ret, coor­di­na­teur peut être fier. Pari gagné ! Il faut dire que Tou­louse a de quoi se his­ser à la hau­teur de l’entreprise avec des artistes comme Her­vé Suhu­biette ou Éric Lareine en maîtres de cérémonie. 

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À NOUsGARO, sa majesté le jazz

Quelques années après la paru­tion de l’album Le Coq et La Pen­dule, le quar­tet jazz (André Cec­ca­rel­li à la bat­te­rie, Die­go Imbert à la contre­basse, Pierre-Alain Goualch au pia­no et David Linx au chant) signe un nou­vel album hom­mage, À NOUs­GA­RO, qu’ils veulent réso­lu­ment tour­né vers l’avenir. Cette pre­mière par­tie nous en a offert un riche aper­çu où se glissent des « inédits et des incontournables ».

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14e Festival Bernard Dimey à Nogent – une édition qui balance !

Elle balance entre tra­di­tion et moder­ni­té. Farouches défen­seurs de notre patri­moine, les pro­gram­ma­teurs don­ne­ront à entendre cette chan­son qui reste vivante dans nos mémoires avec leur Fil Rouge, le Duo Rouge Gorge, deux fran­gins de Tour­née géné­rale qui, en ver­sion accor­déon voix, pour­ront déam­bu­ler et accom­pa­gner le spec­ta­teur ici ou là. […] Mais cette pro­gram­ma­tion 2014 s’ouvre aus­si avec enthou­siasme aux sons et aux mots d’aujourd’hui. Regar­dez comme ça balance !

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Thierry Romanens, la joie d’être en scène

Dif­fi­cile vrai­ment de trou­ver mot plus juste que le mot joie pour évo­quer l’artiste hel­vète Thier­ry Roma­nens. À la pre­mière chan­son, le regard est hap­pé par le jeu, la danse de ses mains qui pour­rait être sa signa­ture si la man­do­line dont il joue le plus sou­vent ne venait nous en pri­ver. Mais on ne sau­rait le regret­ter long­temps car le son de cet ins­tru­ment dia­lo­guant avec celui du pia­no Fen­der Rhodes (Alexis Gfel­ler) n’est pas sans lien avec notre plaisir. 

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