Baisers du B’izou de Bruxelles

Il en faut bien de l’énergie, bien du talent, bien de l’obstination pour que vive le son, ici, là-bas, tout le temps… Pour que vive et se pro­page le son des émo­tions, le son des voix et des musiques qu’elles véhi­culent avec ou sans ins­tru­ments, pour que l’écho nous habite encore long­temps, long­temps après. Sûr qu’à cette heure les murs du café théâtre « Au B’Izou », à Bruxelles se sou­viennent des moments vécus le week-end der­nier. J’y étais accueillie pour pro­lon­ger les liens entre notre asso­cia­tion Festiv’Art (…)

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