Barjac m’en Chante , un mec sous l’orage
Dès les premières secondes c’est un choc. C’est frontal, sans concession. Violent même. Dans le geste, dans la voix. Ca vous frappe en plein cœur, ça vous cloue sur votre siège.
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par Claude Juliette Fèvre | 31 juillet 2016 | En scène, Vive la Reprise ! | 0
Dès les premières secondes c’est un choc. C’est frontal, sans concession. Violent même. Dans le geste, dans la voix. Ca vous frappe en plein cœur, ça vous cloue sur votre siège.
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