Art Mengo et Julie Oz, un élégant pas de deux
« C’est beau ici » s’exclame Art Mengo, à peine arrivé face au public qui l’acclame déjà. C’est vrai, ce lieu chargé d’Histoire, ces voûtes que les lumières vont habiller, au gré des morceaux, d’ambre, de rouge ou de bleu, sont un écrin pour la musique. Il est arrivé souriant, a balbutié quelques mots, a posé la main sur son cœur pour saluer avant de rejoindre le piano. Il entonne maintenant L’amour codé, C’est un quinze août en février /Ton chemisier déboutonné /C’est ce parfum dans tes cheveux /C’est quand il pleut sur nos adieux…
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