Sylvain Rabourdin

Zorozora, du classique et ça décoiffe !

Quand deux médaillés de conser­va­toire, l’une à la cla­ri­nette, l’autre au vio­lon ren­contrent un cer­tain Char­ly (pas pri­mé du tout !) à la gui­tare dont il joue en auto­di­dacte mais défi­ni­ti­ve­ment amou­reux fou des mots et de la scène, on obtient ce trio inclas­sable. On les a même connus à Foix, encore mineurs, avec d’autres copains en scène ! Ils n’ont rien per­du de la spon­ta­néi­té, de l’ardeur de vivre de cette époque-là ; nous avons pu le véri­fier ce soir.

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Nicolas, Marc, Émilie, Manu et les autres…

Voi­là quatre soirs qu’il fête ses 15 ans de chan­sons, notre Bac­chus, quatre soirs qu’il réunit les amis, qu’il se donne un trac fou dans les heures qui pré­cèdent mais quatre soirs aus­si qu’il retrouve un public qui en rede­mande. Il se passe déci­dé­ment quelque chose quand il est en scène… celui qui aime à bous­cu­ler les conven­tions, les convic­tions, à taqui­ner sans limites nos pudeurs, qui joue la pro­vo­ca­tion dans son rôle de dieu Pan, ou de faune en rut, s’en allant voir sous nos ori­peaux notre part ani­male, mas­cu­line de préférence…

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