Barjac 2013, les Pauvres Martins chaussent leurs bottes de sept lieues (© droits réservés)

Les Pauvres Mar­tins (© droits réservés)

[Extrait]

Depuis que nous les sui­vons ces jeunes-là, depuis que nous assis­tons à leur conquête des prix (prix d’écriture Claude-Nou­ga­ro, prix des Décou­vertes Pause Gui­tare, prix du public à Alors Chante), depuis que nous les voyons don­ner tou­jours d’autres cou­leurs à leurs inter­pré­ta­tions, nous savons qu’ils ont une envie folle d’en découdre avec le monde de la chan­son, et qu’ils y met­tront de l’audace. En même temps qu’il ajoute un qua­trième lar­ron (le bat­teur Pierre Ardré) le trio ini­tial (Florent Gou­rault, auteur et chan­teur, Lucas Lemauff, com­po­si­teur, au pia­no et Adrien Rodri­guez à la contre­basse) se lance dans une inter­pré­ta­tion et des arran­ge­ments plus élec­tro, plus rock qui peuvent lui ouvrir d’autres hori­zons, d’autres lieux, d’autres publics. On recon­naît là le par­cours d’autres avant eux dans le monde de la chan­son tou­lou­saine, ou plu­tôt en même temps qu’eux : Manu Galure et Chouf, tous amis de surcroît.

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