[Extrait]
14e Festival Bernard Dimey, 8 mai 2014, deuxième jour
C’est lui qui nous l’annonce Hervé à peine arrivé en scène, il vient dire merci et sachez qu’il le fait de la plus élégante façon qui soit, quand on est de ceux qui travaillent dans leur tête à faire chanter les mots. Au pays de Bernard Dimey, la poésie a droit de cité et ce festival offre quatre jours pour s’en souvenir longtemps… jusqu’à l’édition prochaine !
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Ce soir c’est en soliste qu’il monte sur la grande scène du festival en y dressant comme à son habitude ses petites trouvailles qui font voyager. L’enfance n’est jamais loin. C’est un décor pour y suspendre ses rêves et quand il entre c’est pour offrir d’abord « les mots sucrés, les mots de miel ». Assis sur sa malle pour jouer de la kora, il entonne Syracuse (merci Bernard !) et enchaîne avec cette chanson que l’on pourrait décréter obligatoire dans les écoles : « Si tous les gars du monde voulaient se donner la note »… N’est-ce pas ?