Capucine et sa belle affaire (© droits réservés)

L’af­faire Capu­cine (© droits réservés)

[Extrait]

Capu­cine est mutine, capu­cine est joyeuse… Capu­cine, ou bien ne serait-ce pas plu­tôt Auré­lie, celle qui peau­fine textes et musiques, celle qui mène la danse, le bal des sor­cières, sur son album dont elle réa­lise même la pochette ? Auré­lie Lau­rence se veut mar­chande de rêves ; elle nous ven­drait du bon­heur en fla­con et de l’espoir en bou­teille. Ce n’est pas loin d’être vrai à l’écoute de ce disque, pour peu que l’on ait gar­dé son cœur d’enfant.

Il débute comme un conte, cet album, avec son incon­tour­nable manoir (titre de la pre­mière chan­son) et son pro­prié­taire, vieil homme qui fabrique des choses étranges, avec cet enfant qui ose un jour s’aventurer dans ce monde magique… Le ton est don­né, entre récits de nos enfances et images d’Amélie Pou­lain. La musique elle-même n’est pas sans rap­pe­ler celle de Yann Tier­sen, sou­vent à trois temps : valses mélan­co­liques, valses lentes des sou­ve­nirs enfouis, comme cette Boîte en Chêne où l’on a cru empri­son­ner, il y a si long­temps déjà, nos rêves.

Intégralité de l’article sur le site de Nos Enchanteurs :
Lien vers l'article sur le site Nos Enchanteurs

Quelques liens -

L’Af­faire Capucine