Deuxième vague – Ouvrir ensemble l’écran de nos fenêtres – #2
Deuxième semaine à se laisser porter par l’inattendu, l’improbable, derrière l’écran de nos fenêtres.
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par Claude Juliette Fèvre | 16 novembre 2020 | Hors Scène, Vive la Reprise ! | 0
Deuxième semaine à se laisser porter par l’inattendu, l’improbable, derrière l’écran de nos fenêtres.
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 16 février 2020 | Albums | 1
« Tracer la route » est à mettre dans toutes les mains, sans modération… Un appel à la liberté, à la découverte, à la beauté de la Terre et des gens… Un hommage à la vie !
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 10 juin 2019 | En scène, Vive la Reprise ! | 0
Lève ton vers, c’est un rendez-vous qui donne à aimer davantage encore le Bijou et les rendez-vous insolites qu’il invente régulièrement.
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 7 août 2018 | En scène | 0
Depuis toujours la Chanson hume l’air du temps et nous le restitue avec le talent qu’on lui connaît… Alors… Mee too à Barjac ?
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 14 juillet 2018 | En scène | 0
Il était une fois un auteur et compositeur de chansons, François Gaillard. Son cœur bat aussi beaucoup, beaucoup pour le cinéma. Voilà qu’il rencontre une illustratrice, Marie Bobin, belle comme le soleil de son sourire – Ce n’est pas une envolée lyrique, c’est vrai ! – Alors pour sceller cet amour ils font trois enfants et s’en vont, navigateurs rêveurs, sur les routes de France et de Navarre pour mettre des couleurs dans leur vie et celles des autres.
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 2 mai 2017 | En scène | 0
François Gaillard est un nomade, un vrai. Un authentique amoureux de la route, et son vieux camion, un « sans-grade » qui « n’a pas froid aux pneus » n’est pas seulement dans ses chansons.
En savoir pluspar Claude Juliette Fèvre | 2 juin 2016 | En scène, Vive la Reprise ! | 2
Leur accompagnement est un langage, le prolongement de leurs émotions, celle de leur enfance à l’écoute de Renaud. On y devine qu’ils s’identifiaient à lui comme tant de gamins de ces années 80 même s’ils n’avaient ni blouson de cuir, ni mobylette et peut-être même pas de barres d’immeubles autour. Tout juste un bandana rouge ?
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