Frédéric Bobin (© Dominique Decker)

Fré­dé­ric Bobin (© Domi­nique Decker)

[Extrait]

10e Ren­contres Marc Robine, 17 juillet 2014, Blan­zat (63)

Fré­dé­ric Bobin, récom­pen­sé par le pre­mier Prix Marc-Robine l’an pas­sé est atten­du, avec une fébri­li­té sin­gu­lière ce soir, sur cette terre auver­gnate qui lui est pour­tant fami­lière. D’ailleurs, le public, très nom­breux à la Mus­cade, lui semble acquis. C’est amu­sant comme cette fami­lia­ri­té, cette joie qui se lisent sur les visages créent un cli­mat de convi­via­li­té bon enfant. Le bon­heur est pal­pable dans cette chaude soi­rée de juillet.

Il faut le dire, Fré­dé­ric affiche dans la vie une telle géné­ro­si­té, celle des humbles et des gen­tils, que l’on tombe vite sous le charme de ce gar­çon authen­tique. Tous ceux qui ont la chance de le connaître peu ou prou peuvent en témoi­gner. Il est vrai qu’il est là, sur ce fes­ti­val, aux côtés de Rémo Gary, pour diri­ger la cho­rale des spec­ta­teurs. Alors on ima­gine bien que les cho­ristes sont dans la salle. Rai­son de plus de lui être acquis. Et pour­tant nous connais­sons la dure loi du spec­tacle vivant. On bat les cartes chaque soir et chaque soir est un nou­veau ren­dez-vous amou­reux à l’issue imprévisible.

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