« Il était un piano noir », l’heure du silence
Soudain, ça y est, on entend sa propre voix qui s’élève – bizarre comme elle résonne… « C’est ma voix et ce n’est pas ma voix » dit Barbara. Devant nous quelques visages tendus…plus loin le noir abyssal des présences silencieuses. Ô le bruit que fait ce silence !
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