Dick Annegarn, bébé éléphant égaré (© droits réservés)

Dick Anne­garn (© droits réservés)

[Extrait]

C’est un poète que Le Bijou accueille pour clô­tu­rer sa sai­son : un fou des mots, de la tchatche, du conte, du Verbe. Et si Dick Anne­garn vend à la sor­tie de son concert son livre Paroles, recueil de 180 textes de ses chan­sons, c’est assu­ré­ment un signal appuyé de son enga­ge­ment. En scène, il va même jusqu’à s’interrompre bru­ta­le­ment au milieu d’une chan­son, pour l’un de ses apar­tés, déca­lés, oni­riques par­fois dont le public se régale. On aime cette conni­vence ain­si créée dès la pre­mière chan­son. L’artiste est en scène comme dans son salon, ou au café du coin. Il bavarde, bavarde tan­dis qu’il accorde, désac­corde sa gui­tare ; il confie les menus faits de son quo­ti­dien, son pas­sé en bord de Marne, sa péniche, sa ren­contre inopi­née avec Jean-Louis Trin­ti­gnant un jour de tour­nage, son départ qui aura lieu demain pour une lecture…

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Quelques liens -

Dick Anne­garn | Le Bijou