Tonycello, le cachetonneur des Lilas (© Nicolas Caminel)

Tony­cel­lo (© Nico­las Caminel)

[Extrait]

Com­men­çons par la fin de ce concert au Bijou avec, en rap­pel, ce pla­giat de la célèbre chan­son d’un Gains­bourg débu­tant. Vous aurez immé­dia­te­ment com­pris que dans ce spec­tacle, Chan­sons pauvres… à rimes riches, il faut s’attendre à lais­ser au ves­tiaire sa moro­si­té. Sans doute est-ce pour ce rire bien­fai­teur que des enfants sont dans la salle, plus nom­breux qu’à l’ordinaire ? Avant que n’entre l’artiste en scène, le cel­lo trône majes­tueux dans son rond de lumière, le tabou­ret haut est au centre (là, déjà, on peut s’étonner : depuis quand un vio­lon­cel­liste joue-t-il ain­si juché ?), les par­ti­tions sont sage­ment ran­gées sur le pupitre. Mais tout cet ordre va voler en éclats dans quelques minutes. C’est en clown, mais sans nez rouge, en cos­tume sage gris fon­cé, che­mise blanche et sou­liers bien cirés qu’Antoine Payen fait son entrée bur­lesque. Rien ne lui résiste, tout se défait, se déglingue…

Intégralité de l’article sur le site de Nos Enchanteurs :
Lien vers l'article sur le site Nos Enchanteurs

Quelques liens -

Tony­cel­lo | le Bijou